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    La rubrique sexo-petassing du mois spéciale enculés

     

     

    Edito :

    Le beau nom d'enculé... par Anny Kunne-Debaze

     

    Alors que les actes homophobes se multiplient, nous revient devant les yeux cette image atroce d'un CRS gazant un landeau dans lequel se trouvait le petit Jean-Marcel 18 mois dit Zoupéte futur présentateur météo homosexuel de la tévé d'état, nous sômmes témoins tous les jours de faits de plus en plus ignobles, encore ce matin, là où je prends ma baguette chez Jean-chou et Charles-Hub(ert) (Jean-Chou & Charles-Hub 69 rue Raymond Poulidor dans le V°) le pauvre Jean-Chou en pleurs parce qu'un client homophobe ne lui avait pas dit merci à genoux et avait même aigrement lâché un : « Quoi c'est tout !!! » après que le cher Jean-Chou lui eut rendu sa monnaie (16 cent sur 20 teuros leurs baguettes sont à 19,84 € c'est peut-être un peu cher mais elles sont cuites à point et parfaitement lubrifiées!).

    Nous n'oublions pas que nous autres pétasses d'active prenons toute notre part chaque jour au combat historique et glorieux, ce beau rêve de belle-mère qui fait peu à peu des gaulois queutards et indociles des broutards impuissants, radarisés, infantilisés, non fumeurs, trieurs de déchets ménagers et qui permettra, Ô aube radieuse, à quelques closed queens permanents du PS (le glorieux parti aux 150000 enculés) d'endosser enfin la robe de mariage de maman sur laquelle ils ont tellement rêvé dans leur enfance.

    Nous croyons comme l'a dit notre ministre du gaz que: « L'homosexualité est le fondement mâme de la république ! » (« Sans doute pourquoi Marianne a tellement mal au cul ! » S'est permis de dire un répugnant député homophobe !) et nous clamons avec le poête le beau nom d'enculé qui devra demain dans une perspective transgenre remplacer dans notre vie quotidienne les vieux titres sexués de Monsieur et Madame. « Enculé le président de la République » est-ce que cela ne sonne pas magnifiquement ? Tout un programme en somme.

     

    Le « outing » de Marcel H. par Jean-Plaude Klul

    aux éditions de la Différence 17 teuros

     

    Le sujet est scabreux, on a du mal à imaginer une telle perversion (comment peut-on avoir quelque attirance pour les pétasses actuelles?) mais nous devons aborder par honnêteté le thème sensible de l'hétérosexualité. Jean-Plaude Klul se montre sincère dans ce roman-confession. Plutôt que de stigmatiser essayons de comprendre, ce livre nous y aide en nous mettant dans la tête d'un homme malade mais qui souffre de sa différence qu'il ressent très tôt, dés l'enfance, il ne rêve alors que de devenir chauffeur routier, mais sa mère qui veut à tout prix « un fils normal » décide d'en faire un danseur classique et de le faire entrer à l'Opéra de Paris. Il raconte comment il est obligé de se cacher pour saucissonner, regarder des matchs de foutebol et des magazines de gazesses à poils ou boire des mousses avec les machinos de l'Opéra, cette addiction pèsera lourd dans la poursuite de sa carrière. Rejeté, obèse, victime de l'intolérance de ses camarades de classe qui le traitent de gros porc homophobe et vont jusqu'à chier dans son tutu pour l'alourdir encore un peu plus, ils finiront par le balancer dans le décors après qu'il eut pété en scène dans le final de « Casse-noisettes ». Blessé dans sa chair, il s'est fait une inversion de couilles celle de droite est partie à gauche et la gauche à droite, condamné à loucher du bas toute sa vie, il se retrouve toujours à l'instigation de sa mère qui ne veut rien voir de la véritable nature de son fils dans le milieu de l'édition chez Gallimion et Flaminard où ses penchants sont tout de suite très mal perçus, surpris plusieurs fois à draguer des auteuses maisons lesbiennes, le drame arrive lorsque lors d'un cocktail littéraire chez Lipp, en état d'ébriété avancé il violente Pierre Bergé qu'il avait pris pour la dame pipi. Chassé il réussit à être introduit (enfin!) grâce à sa mère (et à Pierre Bergé reconnaissant) à la météo sur une chaîne de tévé nationale mais il en est très vite renvoyé après qu'il eut refusé les avances de son chef de service et caché la gaine d’Évelyne Dhéliat.

    Il décide de rompre alors avec sa famille, erre le long des nationales à moitié clochard se laisse aller à ses penchants coupables en conduisant des camionnettes de livraison volées et c'est dans un relais routier où il a commandé le plat du jour plus la serveuse qu'il rencontrera (sur la serveuse) un routier bulgare qui l'engagera et grâce à qui il trouvera une sorte de rédemption alcoolisée et routière. Aujourd'hui comme son personnage de Marcel H. Jean-Plaude assume sa différence, il est marié (avec une femme, non ne riez pas !) il a trois enfants et il est transporteur routier, respectons ses choix de vie même s'ils peuvent nous apparaître au premier abord comme révoltants de perversité et simplement amoraux.

     

     

    La recette allégée du jour de Julie l'anorexique :

    La raie au salami transgenre avec Jean-Pierre Taincon de la Gerbouillade à Mézy-le-Preux

     

    -Cher Jean-Pierre aujourd'hui une recette transgenre allégée ?

    -'xactement comme vous dites, la raie au salami... Vous avez amené la raie moi j'ai apporté le salami, y a plus qu'à déballer le matériel? Kof ! Kof !

    -Je vous en prie Jean-Pierre, restez correct.

    -Non je rigole quoi... Bon d'habitude la raie ça se cuisine au beurre noir mais pour vous les parisiens et vu la tendance générale de ces messieurs-dames j'ai décidé de remplacer le beurre noir par de la vaseline pour rester dans le ton, 'con !

    -Vous tenez des propos homophobes Jean-Pierre

    - Et quoi merde quoi ch'uis pas homophobe, je veux bien me marier avec un homme mais pas avec un pédé c'est tout.

    -Arrêtez Jean-Pierre c'est une horreur on va se faire interdire... euh revenons à notre recette, je ne vois pas bien où l'on met le salami ?

    -Béh on le fourre dans la raie bien profond mais avant... on met... une capote...

    -Au salami ?

    -C'est de la raie des sables, ça monte avec n'importe quel plagiste, s'agit pas que l'ami rital se choppe une mycose ... là on ajoute juste ce qu'il faut de vaseline et on enfourne...

    -Vous avez bu Jean-Pierre?

    -T'jours... quand je viens à Paris, sinon je tiens pas deux minutes avant d'ouvrir le feu sur les poussettes... merde il bande plus...

    -Qui ?

    -Béh le salami !

    -De fait il est bien mou...

    -'va falloir le chauffer dans votre petit four ma petite Julie... Il est toujours aussi chaud votre petit fourneau ?

    -Euh non... Bon en attendant... soyez sage Jean-Pierre... vous pourriez nous présentez autre chose une recette d'oeuf au plat queer par exemple...

    -C'est ça et pourquoi pas le Koughelof hémorroïdaire ou le hot-dog bi: deux saucisses mais une seule rondelle de tomate... je vais vous faire plutôt une bonne vieille recette hétéro: la dinde fourrée à la parisienne à la mode d'antan!

    -Mais... mais qu'est-ce que vous faîtes Jean-Pierre... rentrez tout de suite ça !

    -Je vais vous le rentrer moi, 'z'inquiétez pas...

    -Jean-Pierre, non il y a du monde... Aaaaaah Jean-Pierre vous êtes fou! Non gardez vos chaussettes et votre toque ça m'excite... !

     

     

    Le courrier des lecteuses :

    François Qui ? Notre actuel président de la République nous a écrit pour nous soutenir dans notre combat et il ajoute à ses encouragements : « … je profite de l'occasion, chère tante Anny, pour vous demander conseil pour un ami qui a passé sa vie jusque-là à sauter des connes pas possibles qui lui ont pourri la vie, fait des mômes puants et coûté un max de blé alors voilà je... enfin mon ami voudrait faire pédé, c'est tendance, ça rapporte un max pour ce qui est combines et coups de piston y a pas mieux, et mon rêve... enfin le rêve de mon ami ça a toujours été depuis tout môme de présenter la météo à la tévé et comme pour ça il faut être soit hypra-conne (tiens ça me donne une idée je pourrais peut-être y reclasser la Ségolène qui me casse bien les couilles en ce moment ?...) soit pédé-moyen... alors voilà je... enfin mon ami voudrait savoir si ça fait mal, j'veux dire la première fois ? »

     

    La réponse de tante Anny :

    Cher François c'est une question d'habitude, nous te conseillons dans un premier temps d'arrêter de mettre des doigts au français et de penser un peu à toi, très vite tu y prendras du plaisir autant que les conscitoyensenculés qui t'ont élus et nul doute que comme eux tu finiras avec la main entière et bien profond.

     

     

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  • La rubrique sexo-petassing d’Urbane Tattack

    Spéciale régimes

     

    Ce mois-ci les filles nous parlons des régîmes, aujourd’hui ils occupent une place essentielle dans notre vie (et dans celle de nos caniches aussi... pardon je veux dire de nos mecs !), avec la machine à café et les sextoys ils ont avantageusement remplacé la croyance et la pratique religieuse, oui les filles il faut croire en notre ligne même si ce n’est pas toujours facile et que les preuves et la grâce souvent manquent, pour vous aider nous avons testé les régîmes vedettes du moment:

     

    - Le régime dissocié du docteur Bronstein-Petiaux :

    Comptable de devoir le jour, étrangleur de jougueuse la nuit :

    -Point fort: une réelle dépense physique, courir pour attraper la jougueuse, la maîtriser, la violer, l’étrangler puis la découper et l’enterrer.

    D’autant que le viol selon une étude de l’Alabama State Lynch University est un exercice extrêmement énergétivore bénéfique à la concentration et à l’acuité visuelle.

    Alors pourquoi se priver ?

    -Point faible: se faire surprendre par les flics en plein exercice mais là encore nouvelle dépense d’énergie pour leur échapper très favorable à une perte de poids.

     

    -Le régime constructif alternatif du docteur Bismuth-De Oliveira Teixeira Hernandez Olivares ect...

    Chaque week-end vous coulez une dalle de béton de 35 m² ou vous creusez une tranchée de 35 mètres de long sur trois de large et deux de profondeur.

    -Point fort: vous êtes trop fatiguée le reste de la semaine pour penser à vos fesses, de toutes les façons au bout de trois semaines vous n’avez plus de fesses.

    Peut être combiné avec un collègue pratiquant le régime Bronstein-Petiaux vous vous occupez alors de la partie terrassement.

    -Point faible: risque de dérèglement vertébral et de redressement fiscal pour travail au noir.

     

    -Le véritable et seul authentique régime Dukon :

    Le régime ventre plat/classe moyenne du Professeur Sarkollabo (de l’Otan !)

    Vous supprimez, la viande, le poisson, la charcuterie, les laitages, tous les fruits et les légumes, de toutes façons vous pouvez plus vous en payer et le frigo est vide, c’est comme sous l’occup’, les patates à l’eau (à vingt balles le kilog!) sont devenus un plat de luxe sauf que maintenant même les topinambours et les rutabagas sont rationnés et hors de prix alors vous sucez votre bâton caséiné ou vous mâchez inlassablement votre pain fantaisie à la sciure de bois en crachant sur le portrait en pied grandeur nature (10cmx15cm) de l’idole des vieux, le petit père des pépères, le vainqueur d’Al Bezouf (bourgade du désert libyen peuplé de 7 habitants et de 11 chameaux prise héroïquement par nos troupes grotescotanesques après trois semaines de bombardements intensifs!)

    -Point fort: en même pas quatre ans vous êtes économiquement, moralement et cliniquement  mort et donc adieu les problèmes de ligne.

    -Point faible: « Salauds de vieux ! »

     

    Critique littéraire :

    Une histoire de couenne! de Pervenche Broutmeux-Leuzgig

    aux Editions Marie-pas-Claire. 63.99 zeuros.

     

    C’est un sujet des plus douloureux dont nous parle Pervenche Broutmeux-Leuzgig Socioguogue au CNRS: la couenne à travers les âges (et dans une perspective transgenre bien entendu !).

    Bannie de notre paysage culturel, proscrite de tout régime alimentaire moderne, chassée des frigos vides de nos cuisines intégrées, la couenne a pourtant longtemps régné en France tel un symbole de prospérité et d’art de vivre, elle est aujourd’hui mise au ban de notre société allégée mais Pervenche Broutmeux-Leuzgig ne biaise pas (depuis longtemps !) elle sait éviter, avec légèreté, tout ce que le sujet pourrait avoir de scabreux et même de blasphématoire envers l’hygiénisme contemporain (les âmes sensibles pourront quand même s’épargner la vision de certaines photos de jambon de Bayonne éventrés et de pâtés en croûte tremblotant de gelée la tripe à l’air proprement insoutenables).

    En 119 pages (entièrement découennées et dégraissées je vous rassure) déjà une somme pour servir à l’histoire de la couennerie afin que de telles époques ne reviennent jamais.

     

     

    Les bonnes recettes de Julie l’Anorexique:

     

    La Tarte aux boulons.

     

    -Aujourd’hui Je suis avec Jean-Pierre Taincon de La Gerbouillade à Morzy-Lepreux mon cher Jean-Pierre qu’allez vous nous préparer?

    -Alorrrsss pour ce tout de suite nous allons fairrrre ma chèrrre Julie une vieille rrrecette de chez nous: la couenne de porc frite au gras et cuite dans la graisse d’oie avec ses lardons au beurre.

    -Aaaaaaaaaaarrggghhhhhhhhhh !!!... Zzzdddooong !

    -‘tain con ! Elle s’est évanouie... Oh c’était pour rire...  Eh ! Oh ! Shlac ! Shlac ! Là ça va mieux ?

    -Oui... oui... enfin je crois... mais arrêtez de me mettre des claques! Et prévenez-moi la prochaine fois que vous faîtes de l’humour Jean-Pierre... Bon alors la recette du jour c’est la Tarte aux boulons avec sa sauce au minium et aux escargots mixés... Euh ça ne risque pas d’être un peu lourd Jean-Pierre tout ça?

    -Vous m’avez demandé de fairrre moderrrne et crrréatif ! ‘faudrrrait savoirr ce que vous voulez pourr du molléculairrre c’est du mollécullairrre ça! Maintenant si vous voulez alléger vous mettez du boulon de 12 au lieu du 16 mais il y aurrrra moins de crrroquant forrcément... bon béh passez-moi le masque de soudeurrr que je monte le fond de tarrrte... pendant ce temps occupez-vous quoi... tiens vous avez qu’à repeindrrre la grrrille du studio avec la sauce...

     

     

    Le courrier des Lecteuses :

     

    Aujourd’hui Nicolette nous écrit :

    « En vacances en Libye je suis sortie quelque temps avec un bédouin, nous avons vécu une merveilleuse histoire d’amour, j’ai cru en lui et en son amour, il m’avait promis de m’acheter des Rafales, des centrales nucléaires et des Airbus et il s’est ignoblement moqué de moi,  j’ai décidé de me venger, chez moi le glandulaire gouverne tout, depuis six mois avec l’aide de Barack mon chef je le bombarde jour et nuit, je me fous d’avoir l’air d’une conne à bomber (humainement s’entend!) des bouts de désert et des stations services (on est humainement pas à quelques milliers de pompistes et fils de pompistes pauvres bitards de vingt ans près! ) mais voilà depuis je suis devenu boulimique et j’arrête pas de bouffer et à la cantine de l’OTAN  toutes mes copines de l‘Alliance et de l’Axdubien se foutent de moi. Quel régime adopter ? Jusqu’à présent je n’ai essayé que le régime policier Flicker-Guéant mais mes collégues zétazuniens me disent le plus grand bien de leur régime pénitentiaire électrifié Rumsfield-Guantanammo.»

     

    La réponse de notre rédacteuse Mary-Keune-Debaze:

    « Ma chère Nicolette dans ton cas nous te conseillons le régime Mandelbaum-Gagarine tu avales chaque jour au petit-déjeuner 520 grammes de chlorate de soude, 330 grammes  de nitrate de potassium et deux grosses cuillérées à soupe de charbon phosphoré, au bout d’une semaine tu t’introduis un Tampax dans l’anus et tu y mets le feu si tu suis bien le régime normalement tu devrais être idéalement placée en orbite basse pour 2012. »

     

    ... à plus les filles !

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    La rubrique sexo-petassing du mois par Marie Kheune-Debbaz

     

    Sextoys

     

    Laure a essayé

    SarkotepineTM un petit bonhomme ridicule avec un gros sexe et qui bouge tout le temps

    Au début c’est tout mou et tout mignon tu te l’introduis dans la chatte, c’est lubrifié ça rentre tout seul avec un bruit assez doux et puis à mesure qu’il accélère tout seul tu sais pas ce qui t’arrive, en plus il se met à braire des conneries : « Dehors sâles roms !Dehors sâles roms ! », et là tu te rends compte que tu l’as déjà dans le cul et tu sais pas comment il est arrivé là, ça déchire, ça fait mal, heureusement à force de s’agiter il a  les plombs qui pétent ou c’est le court-jus intégral et il se met à fondre et alors tu peux le jeter parce qu’en plus il fout des allergies graves. A oublier donc.

     

    Littérature pétassophone du mois :

     

    On a lu pour vous :

    Mal baisée par omission Édition des Femmes. 69 Teuros. L’autobiographie de Marianne Ny procureuse suédoise qu’on cause à la tévé :

    Mariée très jeune à un éjaculateur précoce qu’elle inculpe au lendemain de leur nuit de noces pour éjaculation non sollicitée sur rideaux non consentants, dans le même temps où elle exerce dans la magistrature à Upsalla(pe!) elle entre à la C.I.A et là elle nous décrit avec humour et émotion un milieu assez machiste où elle réussit malgré tout à se faire son trou (les autres n’en voulant pas !), elle y côtoie notre futur ex-président qui est en stage permanent parce qu’il ne réussit pas à obtenir ses diplômes et certifications US.Kollab, elle finira d’ailleurs avec de bien meilleures notes que lui et deviendra son supérieur hiérarchique en zone West-Europa (Division Glandularious Sluts and Small Klebs). Très amie de Éva Joly juge d’instruction norvégienne (comme l’omelette mais avec elle il y a pas d’attente on est tout de suite en garde à vue) elle passent leurs vacances ensemble à s’inculper l’une l’autre ce qui nous donne l’occasion de pages pleines de fraîcheur où les deux femmes se roulent dans des champs de bit... de concombres au bord de la mer baltique.

    Elle passe son doctorat de tas où elle développe la thèse selon laquelle les sexes doivent se rencontrer le moins souvent possible car leur fréquentation est toujours source de frictions, elle prône l’apartheid sexuel et la non sollicitation réciproque. Non sollicitée elle se remarie avec la machine à café de l’étage où elle travaille à Bruxelles au sein de la commission, elle y est en charge du problème de la mal-baisance, dans lequel elle a acquis une solide réputation avant de rejoindre le parquet de Stockholm où elle expérimente des idées rafraîchissantes et des concepts novateurs tels que l’intromission avec préavis ou le mandat de baise en trois exemplaires avec dépôt préalable au Greffe.

    Extrait :

    Un monde de rêve

    -Humph ! Humph !

    -Mais vas-y rentre-là elle va attraper froid qu’est-ce que tu attends !

    -D’ac... d’accord mais tu veux bien me signer un papier.

    -Aaaoooh Aaaooh ! Comment ça un papier ?... vas-y mets-la moi toute Chérie!

    -Eh ben oooaaah comme quoi tu m’autooooooaa... rises à te la mettre au fond tu comprends j’ai pas envie de finir en taule.... ah si le chien pouvait aussi me signer une décharge, tout à l’heure en rentrant je l’ai caressé sur la truffe et peut-être il était pas consentant, il a pas bougé la queue !

    -Une décharge ?... décharge! Ooooh ouais vas-y décharge !

    -Mon papier d’abord.

     

     

    Destination de rêve pour le nouvel an !

     

    Béthune-Maubeuge en TGV (Train à Grande Vitesse)

    Vivez une aventure merveilleuse ! Quinze jours enfermés dans un TGV crade et mal entretenu avec des contrôleurs et des techniciens syndiqués, multiples arrêts en rase campagne, panne de chauffage et de caténaires incluses, chiottes condamnés, venez uriner au grand air au milieu des congères, vous découvrirez en même temps la vie exaltante de ces hommes et ces femmes qui comme les policiers se dévouent pour la communauté 23 heures 50 par semaine (on passe pas derrière le guichet !) avec pour seul but nous faire chier. Réveillon aux chandelles (prières d’apporter ses bougies) chauffage éteint.

    Et le soir du 31Décembre ne ratez pas la grande attraction: le conducteur qui se débine pour aller réveillonner en famille ! 

     

     

    Les bonnes recettes de Julie L’anorexique

    La choucroute dégarnie

    Vous prenez une belle choucroute royale, vous enlevez les Strasbourg que vous mettez au compost, puis le jambonneau au compost itou, même chose pour les saucisses fumées et les tranches de lard, le jambon et toute la garniture vous gardez cinq grammes de chou par personne que vous passez sous l’eau chaude pour enlever les dernières traces de graisse et de pinard (quelle horreur ! Je vais vomir !) Voilà c’est prés vous pouvez servir... les enfants ! Les enfants c’est prêt... mais... mais qu’est-ce que vous faîtes tous autour du tas de compost !  

     

    Le courrier des lecteuses :

     

    Linda nous écrit:

    Chère Marie Kheune, mon ami est écologiste et il ne veut plus que je péte au lit et depuis quelque temps je trouve qu’il s’occupe beaucoup de l’empreinte carbone de ma meilleure amie. Dois-je rompre ? J’ai peur à mon âge (39 ans et demi (j’ai de bons freins !)) de me retrouver seule à péter au lit les soirs d’hiver.

    La réponse de Marcel H. (intérim)

    Tu dois rompre, un mec.... hips... qui aime pas qu’on pète-z-aulit c’est pas-t-un homme... c’est hune tarlouze... burp ! éh quoi ton phone... hips... ‘tite salope ? ‘huis mettrais bien une ‘tite cartouche moi  à la ‘tite Linda malgré que la photo elle date de sa première communion !

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    La rubrique sexo-pétassing d’Urbane Tattack par Mary Keune-Debaze

     Et oui les filles revoilà votre rubrique sexo-pétassing avec plein de bons plans pour être toujours plus... enfin pas moins...  

     

    Sextoys :

    La main de masseur... dans la rondelle d’une conne.

    Faaabuleux ! Surtout et le plus important pour moi... puuf ! puuf ! ils n’ont pas oublié la fausse bague ni la fausse Rolex vaterprouffe, en plus elle est vibrante... puuf ! puuf ! et elle sonne aux heures pleines, les sensations sont étonnantes et on arrive pas en retard... puuf ! puuf ! driiiing ! aaaaaaaaaaaah ouiiiiiiiiiiiii je viens !

    Le marteau piqueur pneumatique avec le compresseur 15 cv. Pour celles qui veulent vraiment se faire défoncer. Prévoir des boules Quiés et des chaussures de sécurité.

     

    Les bonnes recettes de Julie l’anorexique : La garbure transgenre

     -Aujourd’hui nous recevons le chef Jean-Pierre Taincong de l’Aubergeouillade à Chandépiés-Lés-Pôpiétés

    -Bon alorrs ma petite Julie aujourrrrd’hui on va fairrrre une bonne Garrrbure ‘tain con !

    -Eh oui Jean-Pierre une bonne garbure allégée au soja et aux lentilles roses.

    -Au quoi ?

    -Au soja et aux lentilles roses, une garbure transgenre quoi.

    - Macarel mais tu te fous bien de ma gueule ma fille!

    -Il faut évoluer Jean-Pierre nous vivons à l’heure de la vorlde kitchen et du métissage des mélanges... vous prenez donc un beau filet de gland bien dégraissé...

    - Putaingue où j’ai mis le fusile ?... heureusement je me méfie et quand je monte à Paris que je viens chez les dingues je prends toujourrs  le fusile !

    -Calmez-vous Jean-Pierre ou je vais vomir déjà que tous ces aliments autour de moi vous imaginez pas combien ça me dégoûte.

    - Putaingue les cartouches ? Oùsque j’ai mis les cartouches !

    -Jean-Pierre ! Non Jean-Pierre !

    -Pan ! Pan ! ‘tain con !

    -Ah la conne elle m’a soufflé... aujourd’hui donc cherrrs tévéspectateurrs la garrrburrre à la bécasse... maigrrre...

     

    Courrier des lecteuses :

    Célia nous écrit :

    Je suis amoureuse de mon prof de stretching mais il me trompe avec mon prof d’aérobic que faire ?

    Mets-toi au tennis... et au golf.

     

    Littérature pétassophone

    Ce mois-ci nous vous offrons en esclusivité les meilleurs extraits du nouveau roman de Barbara Kelgland :

    Nous trois !

    (Collection Arrhlesconnes ! Tout un monde de connerie pour 3 € 85. ) En vente dans toutes les grandes surfaces rayon littérature industrielle... 3 € 85... ah ouais quand même, ça fait 25 balles quoi.)

     

    « Je rencontrais Pachocono à Paris dans une exposition de peintures... chez Leroy-Merlin.

    Pour payer ses études d’architecture il faisait des malfaçons chez Maison Bouic. Il voulait être « un grand architek qu’on cause à la tévé si tu vois amour ».

    J’appris qu’avant cela il avait été médecin en Allemagne dans une clinique de la forêt noire  où il avait combattu héroïquement une épidémie de gastro-entérite déclenchée par des Weisswurst pas fraîches pendant la fête de la bière, épongé et soutenu par sa seule infirmière-cheffe la fidèle Helga.

    Pour payer ses études de médecine il avait été pilote de ligne héroïque sur jemejet.com une compagnie chyprio-afghano-belgo-hondurienne à bas coûts de Bakou, où il était parvenu héroïquement après une erreur humaine de l’ordinateur de bord, à poser son airbus sur un parking de supermarché, enfin il ne s’était arrêté complètement qu’au rayon crémerie.

    Il me l’avait confié l’une de ces nuits où assailli par son passé fourni et tumultueux il ne parvenait point à trouver le repos, il m’expliqua que pour payer ses études de pilote de ligne il avait été aussi maharadjah en Inde et auparavant  armateur grec à mi-temps pour payer ses études de Maharadjah et enfin pécheur de fausses perles à Prisunic pour  payer le photomaton.

    C’était ce que j’admirais le plus chez lui sa volonté, depuis qu’il avait quitté son pays il avait toujours travaillé pour financer ses études nombreuses et successives :

    -Mais amour tu n’as donc aucune famille qui pourrait t’aider et te soutenir tout au long de tes études.

     

    ... Il ne me répondait pas, il se fermait... ou me foutait une baffe, je ne perdais point patience enfin un jour je parvins à démanteler ses défenses ultimes et il me raconta qu’il était issu d’une grande famille d’Amérique latine les Empalmados y Tres, mais orphelin très jeune, ses parents s’étant tués au club méditerranée d’Agadir pendant une course en sac disputée un peu bêtement sur la Nationale et gagnée largement par l’autobus qui arrivait en face, confié à la garde de son  grand père le terrribile Don Rrrraoul Empalmados y Tres  et de la douce et tendre servante la brave Arthritica, dés qu’il avait pu quitter l’immense estancia familiale et le redoutable aïeul il avait fui en Europe. 

    Peu importait nous nous aimions et d’un amour que je pensais indestructible.

    Et puis le grand-père le terrrrrribile don Rrrraoul était mort... entre deux putes disait le journal ( le sandouiche bolivien ça s’appelle, il faut quand même la santé, et lui il l’avait plus trop, parait-il qu’il avait soudain manqué d’air» « y a la salade qui couine avait dit l’une des putes ! », celle d’en haut,  « c’est pas la salade c’est le jambon avait rectifié celle d’en bas ! »)

    Pachocono héritait de l’estancia et de la fortune familiale et il prit la décision d’y retourner avec moi.

    Jusque là je ne connaissais que nos petits champs de tartiflette d’altitude savoyard, aussi quand je découvrais les immensités de l’estancia Empalmados y Trés ces milliers d’hectares de pizzas OGN sous le soleil couchant, à perte de vue des champs en téchnicolorés de Margherita épinards, Marghérita emmental et Margherita champignons (de tradition dans la province il pratiquaient la monoculture des Margherita.)  je fus émue jusqu’au tréfonds et je me dépêchais d’aller changer de slip avant de rejoindre Pachocono qui m’attendait sur ce que je croyais être la piste d’aviation de la propriété familiale ...  et qui n’était en fait que la salle à manger d’été.

     

    ... Chaque matin suivant le même rituel de deux âmes amoureuses nous parcourions à cheval le domaine et très vite nous nous roulions dans les champs et nous rentrions couverts de tomates/moules et d’anchois/champignons (je vous dis pas les notes de teinturerie.).

    Ennegulado le ranchero en jefe souriait avec tendresse en nous voyant arriver dans la cour de l’estancia, il disait avec un bon sourire que notre amour fou lui rappelait sa jeunesse quand il allait voir les putes à Contençion et la bonne bonne Arthritica, oui enfin la servante fidèle qui avait élevé Pachocono, souriait avec cette tendresse que je voyais sur son visage dés qu’elle découvrait la joie sur le visage de Pachocono qui souriait dés qu’il voyait la joie sur le visage de  sa chère et fidèle Arthtica qui souriait dés qu’... ect on l’aura compris ces deux-là souriaient souvent dés qu’ils voyaient la joie sur le visage de... merde v’là que ça me reprend!

     

    ... Quelques fois, Pachocono s’enfermait dans un mutisme inquiétant quoique sonore, inquiète je l’interrogeais.

    -Le cassoulado qui passe pas, j’aurais pas du en reprendre après la côte de boeuf à la moëlle de nonne...

    Je parvenais à le réconforter :

    -Ah ‘utain ça fait du bien je crois que j’ai tout rendu, je t’en ai pas trop mis sur ta chemise de nuit arachnéenne...

    Après le plus souvent nous faisions l’amour avec passion et nos corps vibraient à l’unisson... ou alors il s’ouvrait une bière.

    -Burp ! T’en veux chérie ?

    -Merci amour ça fait péter !

    Très vite pourtant je découvrais la terrible vérité, il n’avait jamais cessé d’entretenir une liaison avec Wilfrid Müller son ancien chef steward.

    -Chéri mais qu’est-ce qu’il a de plus que moi ?

    -Ben si tu sais le truc sur le devant et puis les deux petites balles qui se balancent, c’est marrant, ça occupe et puis il est vachement moins cassepion. Avec lui on peut discuter de tout et même s’engueuler il m’envoie pas les flics et puis il est quand même plus...

    -Plus quoi mais bordel de merde parle espèce de connard ou je t’éclate la gueule à coups de gaffe !

    -Plus... plus féminin.

    J’éclatais en sanglots, vrai j’en ai mis partout sur les murs et sur la moquette, et le sanglot pour le faire partir c’est galère, je fis mes valises, je savais qu’il me reviendrait et je lui promis que je l’attendrais. Je partis donc mais je me faisais la promesse de retourner ici un jour... avec un nettoie-moquette.

    Le soir tombait sur les champs de calzone du voisin (un original) qui rutilait comme au premier matin du monde... ziuuuuuiiiup merde j’avais encore glissé sur une rondelle de chorizo et je m’étais vautrée, faudrait peut-être voir à ralentir sur la Tequila je me pensais! Pays de merde, j’irais l’attendre à Bagnolet ce con quand il en aurait fini avec ses histoires de tantes !

    -Enculados ! Je gueulais de toute ma peine.

    -Oui quelqu’un m’a appelé ?

    -Non, non brave et fidèle Ennegulado je parlais toute seule, ne vous dérangez pas à quelle heure déjà le train pour Bagnolet ?

    (copyright Barbara Kelgland and Arrhlesconnes S.A Vevey 2010 vorld raïghts riserved)

    version imprimable: Lurbaine Revue 

     

     

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    Nouveau!!! La rubrique sexo/pétassing de Urbane Tattack

    par Mary Keune-Debaze 

     

    Sextoys:

    On a essayé le Sextoy RER.B : parfaite imitation d'une rame de RER, on le met dans un trou il ressort par un autre (livré avec un pot de graisse de 3 litres et une clef à molette):

    Laura: "La première fois c'est assez  spaïcy le côté courant d'air, après on s'y fait très vite et on adoooore!"

    Attention au rhume de con, ne pas hésiter à bien graisser le péteux et à faire une grande révision les veilles de départ en vacances. 

                  

    Vacances: le pack familial garde à vue:

    un week-end en garde à vue en famille/compris fouille au corps compléte/ un doigt dans l'anus par personne/ cellule de dégrisement à volonté.

    666 € Brice ORTF tour operator.

    La France compte une multitude de petits commissariats de banlieue et de province mal connus mais bien dégueulasses et qui méritent le détour où l'on est reçu à toute heure du jour et de la nuit par un personnel local composés de fonctionnaires d'expérience à l'éthique approximative, qui feront tout pour vous pourrir la vie. Vous serez tout de suite adopté, menotté, mis à poils, vous deviendrez la victime d'un humour pétillant et fortement alcoolisé, frappé (pas l'humour, le gardé à vue) selon l'humeur. Vous vous souviendrez longtemps de la parole de... de Bossuet (oh ouais au moins!):

     "Donnez du pouvoir à un con et céans il deviendra un salaud !"

    Et pour un souvenir encore plus inoubliable réservez afin d'assister à la tournée: "Racolage sécuritaire" du groupe Présidence de la République Amère (84 dates jusqu'aux élections: commissariats de Maubeuge, La Roche sur Yon, Blénod les-pont-à-moussons, Argenteuil ect, location dans les FNAC, les commissariats de quartier et les maisons d'arrêt).

    Promotion Urbane Tattack pour les fêtes de fin d'année: le pack familial avec deux doigts dans le cul pour le prix d'un seul.

     

    Cuisine: Les bonnes recettes de Julie l'anorexique:

    Le cassoulet minceur de Castelnaudary

    Vous prenez sept haricots de préférence du Soissons (dégraissé), vous les laissez tremper 48 heures dans de l'eau de lessive, après quoi vous préparez une sauce à base de 5 cl de glycérine, 3 cl de détersif non alcoolisé, une demi feuille de laurier lyophilisé, 12 pépins de tomates, un quart de tiers de rondelle de saucisse de Toulouse, salez mais sans excès, goûtez, vomissez (bien au centre du plat) réservez, poivrez, jetez.

    Pour celles qui ont des problèmes de transit, mettre 5 haricots au lieu de 7.

    A noter: le quart de tiers de rondelle de saucisse de Toulouse peut être avantageusement remplacé par un veau de mer d'une centaine de kilos et le haricot de Soissons par du plomb de chasse (dégraissé).

     

    Littérature pétassophone du mois:

    Anna Nougavla: Je voudrais que quelqu'un me la mette quelque part!

    Le guide du broutard éditions. 1689 p. 77€ en vente dans toutes les grandes surfaces alimentaires au rayon pas frais.

    Marcel, Jean-Loup, Robert, Annie, Françoise et Brahim sont amis et votent UMP, enfin Brahim est un petit peu moins ami et lui il vote PS (qui a dit: oh le con!), ils se retrouvent après des années pour des vacances à Palavas-les-flots mais leur belle amitié cache un lourd secret enfoui... non mais bien profond dans les dunes: Robert aurait planqué la trottinette de Françoise  dans le temps (après l'avoir violée, comme ça pour rire, dans les genets avec Marcel et Robert) et elle ne lui a pas pardonné.

    Extrait: "... à propos demanda Annie: le Brahim tu es sûr qu'il est bien en règle? On pourrait pas le faire expulser par le syndicat d'initiative de Palavas. Non pasque l'aut'fois y se moquait de la station, non mais moi je dis: Palavas il l'aime ou il la quitte! Ah non mais quand même!" Des scènes émouvantes et si vraies: la panne de lave-vaisselle, la confession dans le placard à balais, le téléphone qui sonne, la pizza trop cuite. Un très beau roman condimentaire. Beau et ample comme du Montherlant qui se serait pris les couilles dans l'hygiaphone.

     

    Courrier des lecteuses:

    Lise nous écrit: Je travaille dans une petite société d'imprimerie du Bromurois et mon patron ne me harcèle pas, ni moralement, ni sexuellement. Que dois-je faire? J'ajoute qu'il m'a augmenté la semaine dernière sans que je ne lui aie rien demandé.

    Accorder une augmentation à quelqu'un qui ne l'a pas demandée est typiquement un cas de pression morale différée tu dois aller dans un commissariat déposer plainte, de préférence choisis la fonctionnaire à gros cul qui part jamais en patrouille et se tape toute la paperasse, elle a une revanche à prendre sur les hommes, profites-en pour déposer une nouvelle plainte pour violence contre ton ex-mari qui t'a fait :"Chut! Allons ma chérie!" après que tu l'aies traité d'impuissant et de con de chômeur à la fête de l'école devant tout le monde, mômes, profs et parents d'élèves.

     

    Bon maintenant les filles je vous dis au mois prochain...

     

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